Cheikh Yérim Seck dit non à la criminalisation de l’homosexualité. Son refus se justifie par les relations entre le Sénégal et certains pays ou organismes internationaux qui risquent d’en pâtir, au regard des accords et traités signés.
Cheikh Yérim déclare que le Sénégal va être rétrogradé d’un rang de démocratie à un rang de pays presque dictatorial, irrespectueux des droits des minorités sous prétexte que les plus grandes puissances du monde (États-Unis, Canada, France…) ont décidé que la pratique du Lgbt doit être au cœur de la vie de tous les États du monde. Il conclut que le vote de cette loi pourrait engendrer une sorte de boycott économique du Sénégal.