Ainsi, ledit syndicat a décidé d’observer une grève de 48 heures renouvelable si toutefois l’État ne prend pas en charge leurs revendications, informe le porte-parole. « Le transport routier est malade et ses acteurs n’arrivent plus à s’en sortir », a déploré Fallou Samb.
« C’est pourquoi, ces acteurs sociaux se sont regroupés pour déposer un préavis de grève sur la table du gouvernement. Et si les autorités ne réagissent pas, nous serons obligés de réunir à nouveau une assemblée générale d’information pour entamer une grève à compter du 1er novembre prochain. Le CUSTRS réaffirme sa décision d’observer dans un délai d’un mois, une grève de 48 heures renouvelables plusieurs fois sur toute l’étendue du territoire national et dans tous les segments des transports routiers », trouve-t-il.